Il s’approchait doucement quand soudain, il vit la marquise dans sa plus belle robe d’apparat toute souillée et déchirée .
Elle était comme une furie échevelée mais non écervelée fort heureusement.
Elle hurlait , en essayant de soulever le bas de sa robe pour ne pas glisser dans la boue .
Elle pestait contre ses escarpins glissants et ses bas troués , mais elle avançait résolument vers lui. Et il pris peur en la voyant dans cet état.
Il se retourna vivement et appela son carrosse d’une voix tonitruante .
Se tournant vers elle avec un peu de pitié dans le voix , il lui suggéra de rentrer avec lui et la supplia de moins traîner avec son amant dans la nuit glauque.
Il pourrait t’arriver malheur un jour , si ce rustre te jettes comme une malpropre un autre soir.
Elle lui siffla ces mots perfides. “ si tu me baisais mieux , je n’aurais pas besoin d’amant”
Il dut reconnaître hélas qu’elle était dans le vrai , mais il aimait tellement plus les jeunes gens si délicats .
Toutes ces femmes étaient si stupides qu’il en pleurerait de leur faire l’amour.
Donc il s’approchait doucement d’elle et elle lui balança une gifle si retentissante qu’elle i l’envoya valser dans la fange.
Ainsi se termina leur union et depuis ce jour, il fut heureux
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